Poésie
Recueil de poèmes évoquant les tragédies et les beautés du monde contemporain pour en montrer la richesse et la complexité.
Recueil de poèmes et d'aphorismes tantôt lyriques, tantôt caustiques dans lequel Tahar Ben Jelloun revisite son enfance à Fès, observe le monde qui l'entoure et explore le sentiment amoureux.
Des entrailles naturelles , c’est un recueil de poésie en trois parties : 1) une chute, 2) une tentative pour prendre le pouls du sol en se repliant sur soi, puis 3) un essai pour entrer dans les tripes du moment afin de trouver un peu de calme. C’est une expérience pour voir si on résonne en frappant sur sa peau comme sur celle d’un tambour. C’est une exploration du corps ; le mien et celui de la nature.
J'ai juste envie d'écrire de me perdre dans mes histoires noircir des lignes des lignes sans compter ravir la lumière de mon cerveau et la charbonner sur mes feuilles lignées Avant quand mon crayon touchait le papier mon cahier s'enflammait j’avais tellement d'idées que ma main n'allait pas assez vite pour les écrire les mots déboulaient et ma tête répétait pour ne pas les oublier les phrases pressées les unes contre les autres qui se tenaient sur le plongeon de dix mètres avant de sauter dans le vide et de me surprendre.
Ce qu’il est advenu de ma mort est l’histoire d’une parenthèse trop longtemps ouverte, d’une fin foudroyante – ou plutôt d’un début. Un texte qui raconte nos visages qui se détachent, nos corps qui nous quittent et les mots retrouvés. Une poésie qui, à coup de crazy glue, tente de rapiécer les morceaux de la vie dans une langue du quotidien, entre lit défait et bord de lac.
La poésie et le poète, comme la publication même de ce recueil, sont à la fois québécois et créoles, natif et métisse, un mélange de soleil et de neige, une collaboration entre le Québec et la Louisiane. Richard deBessonnet, enfant d'un père québécois et d'une mère louisianaise, est chez lui au Québec, mais il arrive aussi vers la fin de ce recueil à fouiller un peu dans ses tiroirs matriarcaux.
Une anthologie puisée dans quatre recueils publiés entre 2009 et 2019 : Un billet pour deux, Prière pour le début du gel, Métaphysique du renard et Le deuil ne porte pas de couronne. Le poète évoque le sentiment de perte, entre cri de douleur et réflexion métaphysique. ©Electre 2021
Résumé en cours
Ceci n'est pas un journal. Ceci n'est pas un meurtre, ni un viol, ni une bouche. Surtout pas un rêve ou une fantaisie. Nous sommes en poésie, les visages se multiplient au même rythme que les corps, la vie, les plaies et toutes les fleurs dehors: cela défile, cela est vrai. Sophie Bienvenu parle d'amour. Première incursion de l'auteure dans la forme poétique, ce recueil au sens propre s'impose comme une radiographie des passions. On tourne autour, on s'irradie pour mieux apercevoir le squelette des verbes Aimer, Fuir et Prendre. « Je ne suis pas le genre de fille / à me protéger de la pluie ». Ceci n'est pas de l'amour. C'est l'orage qui nous hante et l'éclaircie autour.