Justice
Histoire d'une trahison entre un homme soupçonné d'avoir assassiné sa femme et ses deux filles, et le journaliste qui couvre l'affaire. Quelques années après le procès, en dépit des liens d'amitié qui l'unissent au condamné, lequel continue de clamer son innocence, le journaliste fera paraître un ouvrage dans lequel il décrit le prisonnier sous les traits d'un psychopathe.
Huissier de justice, A. Marécaux fait partie des 17 accusés du procès pour pédophilie en 2004 à Outreau. Il raconte son arrestation, ses incarcérations, son procès et le verdict, mais aussi sa vie privée anéantie et sa vie professionnelle gâchée. Malgré une condamnation en première instance, niant les faits qui lui étaient reprochés, il a attendu le procès d'appel lors duquel il a été innocenté.
Huissier de justice, A. Marécaux fait partie des 17 accusés du procès pour pédophilie en 2004 à Outreau. Il raconte son arrestation, ses incarcérations, son procès et le verdict, mais aussi sa vie privée anéantie et sa vie professionnelle gâchée. Malgré une condamnation en première instance, niant les faits qui lui étaient reprochés, il a attendu le procès d'appel lors duquel il a été innocenté.
" En cet été 1962, Marilyn Monroe, 36 ans, est au sommet de la gloire. Et fourmille de projets. À 21 h 45, le dimanche 4 août, elle devise gaiement au téléphone avec son ami et amant occasionnel, le scénariste José Bolaños. À 4 heures du matin, son coeur a cessé de battre. Aucune trace de médicaments ne sera trouvée dans son estomac au cours de l'autopsie. Pourtant le rapport officiel affirme qu'elle a ingéré soixante-quatre somnifères, démontrant ainsi son suicide. Jay Margolis et Richard Buskin réfutent cette thèse, ancrée depuis un demi-siècle dans l'inconscient collectif. Marilyn ne s'est pas suicidée : elle a été assassinée de façon préméditée. Par qui ? Comment ? Les auteurs ont rassemblé tous les témoignages sur l'affaire, y compris le rapport d'autopsie, reproduit en annexe de ce livre. Ils reconstituent, minute par minute, le dernier jour, les dernières heures de Marilyn. Leur conclusion est sans appel. Le meurtre de l'icône est une affaire d'État... Les auteurs dévoilent dans ce livre le nom de l'assassin et de son célèbre commanditaire. Mieux : ils révèlent le mobile du crime : pourquoi il fallait que Marilyn se taise... à tout jamais ! " -- 4e de couv.
Retrace la vie de Miguel Angel Tobar, dit El Nino de Hollywood, un tueur salvadorien sanguinaire appartenant au seul gang faisant partie de la liste noire du département du Trésor aux Etats-Unis, la Mara Salvatrucha 13. Les auteurs mettent en lumière les dynamiques sous-jacentes du phénomène des gangs aux Etats-Unis et en Amérique centrale et tentent de décrypter les racines de cette violence. ©Electre 2020
LES COULISSES DU PLUS LONG ENLÈVEMENT DE NOTRE HISTOIRE Charles Marion, gérant de crédit à la Caisse populaire de Sherbrooke-Est depuis 32 ans, mène une vie tranquille entre Sherbrooke et Stoke, où se trouve son chalet, «Mon Repos». Le 6 août 1977, des malfaiteurs le kidnappent dans le but d'obtenir une rançon exorbitante de son employeur, mais le processus s'enlise et Charles est détenu dans un cachot souterrain pendant 82 jours avant de recouvrer la liberté. Que s'est-il vraiment passé pendant tout ce temps? Pourquoi la Sûreté du Québec a-t-elle cru que la famille Marion pouvait être impliquée dans l'enlèvement de Charles?
Rédacteur à TQS, Pierre Martineau a mis en forme la confession de Serge Quesnel, tueur à gages qui est devenu le principal témoin dans le méga-procès des Hells Angels. Le monde du crime tel que vécu de l'intérieur. On retrouve en annexe le texte du contrat signé entre Quesnel et le gouvernement du Québec par lequel il acceptait de témoigner contre ses anciens complices.
A la suite de la publication de son ouvrage Une certaine idée de la justice : Tchétchénie, CIA, Kosovo, drogue, l'ancien membre de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe est menacé. Pendant seize mois, une protection policière est mise en place. Son habitation est transformée en forteresse et tout déplacement est soumis à un protocole de haute sécurité. Il relate cet événement.
Enquête qui explique pourquoi Radovan Karadzic et le général Mladic, criminels de guerre en ex-Yougoslavie officiellement recherchés, sont toujours libres. Atteste de l'ambiguïté des postures des gouvernements successifs à l'égard de cet impératif de capture, et montre que les engagements des appareils d'Etat ne sont pas toujours en accord avec ceux de la justice internationale.
Analysant l'attitude du peuple sicilien face à la mafia terroriste, la réaction des partis, celle de l'opinion publique et de la presse, l'auteur tente de répondre à une question essentielle : les attentats de ces dernières années visant le sommet de l'Etat sont-ils un signe de puissance ou traduisent-ils une attitude défensive ?
Pages
