Nouvelles
Subtiles et toutes en nuances, les nouvelles de ce recueil sont de petits bijoux d'infidélité qui dépeignent à quel point le bonheur est un acarien fragile : il se glisse dans les petites choses. Qui a tué Magellan montre ces instants où notre vertu vacille, où l'homme se dévoile dans ses imperfections.
Ces nouvelles racontent les aventures de petites gens à Paris, en Bourgogne ou au Maroc : l’attachement démesuré d’un vieux paysan bourguignon pour sa terre, qu’il préfère à sa famille et à lui-même jusqu’à la mort, le joyeux drille d’un douar berbère qui tire gloire d’être doté de trois testicules ou encore un jeune berger qui retrouve son étoile perdue dans le regard d’une fille.
Quatre personnages blessés mais toujours à l'affût de la beauté du monde, héros malgré eux de quatre nouvelles à la fois tendres et tragiques. Claude Vincent dit la vie comme elle est, entre la terre et les étoiles, la douleur et l'éblouissement, la pesanteur et la grâce.
Une réflexion sur le thème du haut-lieu, de l'espace spirituel privilégié qui permet à l'homme de s'ouvrir au divin. A partir du village de Lectoure où il réside, l'écrivain livre sa propre méditation, nourrie de son quotidien et de sa contemplation du paysage, qui est aussi un paysage intérieur.
Réunit l'ensemble des nouvelles de l'auteur italien écrites pendant les années 1930 et 1940. Celles de la première décennie, d'un style plutôt classique, dévoilent son intérêt pour l'enfance et sa recherche d'un langage plus moderne. Celles de la seconde période sont traversées par les motifs du désert traduisant la solitude humaine, par ceux de la peur, de la catastrophe amoureuse ou de la ville.
Recueil de nouvelles paru en 1904 de Pauline Mary Tarn (1877-1909), femme de lettres d'origine anglo-américaine qui écrivit sous le pseudonyme de Renée Vivien.
Chacun de ses textes dénote un goût puissant pour l’introspection et une profondeur psychologique remarquable, alliés à une douce ironie. Tout cela fait de Vizyinos un écrivain à la fois grec et universel, mais aussi très attachant. Curieusement, la première de ses nouvelles, Le péché de ma mère, a d’abord paru en traduction française. La voici reproduite dans cet ouvrage. On y trouve ce qui fait le génie de l’auteur : la découverte d’une vérité nichée dans le secret d’une âme. A ce texte essentiel nous ajoutons ici un autre, moins connu, mais également plaisant, traduit en français pour la première fois : Le pommier de discorde. Ou comment se faire corriger, au sens propre comme au sens figuré, lorsqu’on ne parle pas tout à fait comme l’exigent les trop stricts professeurs
Ce recueil de 21 récits d'aventures drôles fait l'éloge de la nature et de l'amitié et offre une réflexion profonde sur l'art contemplatif de la pêche à la mouche.
Cette douzaine de récits annonce les thèmes chers à l'écrivain : caricature de la médecine, anticléricalisme, dérision, critique sociale, etc.
Quand on s'appelle Boom, on a peu de chances d'échapper à un destin hors du commun. Même l'anodin Monod en verra de toutes les couleurs. Sans parler de la si gentille Tante Klara. Drôle, sarcastique, effrayant, et impitoyable, Walter Vogt s'en prend une fois de plus aux médecins (dont il fut), aux fonctionnaires, aux fossoyeurs de la nature, aux politiciens. Recueil de nouvelles paru en 1979.
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