Sciences sociales
Parce que les anthropologues aiment se promener sur les sentiers battus pour scruter le moindre "nid-de-poule" les auteurs examinent le sens des choses dans le détail de la vie. 2001.
« L’homme arrive novice à chaque âge de la vie », écrit Chamfort. Telle est la maxime que suit Gilles Archambault, qui se fait ici le chroniqueur d’un temps que nous refusons bien souvent de regarder en face, celui de la grande vieillesse. Avec une autodérision qui n’appartient qu’à lui et une candeur qui a tout de la franchise, il pose son regard sur ces petits moments qui, au crépuscule, sont tout ce qui subsiste d’une vie longuement vécue.
À quoi faiton référence, au juste, quand on évoque la classe moyenne? Comment en est-elle venue à inclure tout le monde et son beau-frère? Pourquoi estelle maintenant courtisée, à droite comme à gauche, par des gens qui lui promettent une chose et son contraire? La classe moyenne a de nombreux défenseurs, mais pas beaucoup d’amis.
Sous la forme d'un dictionnaire, une invitation à parcourir les rues d'une ville à cheval sur deux continents, capitale des empires romain, byzantin puis ottoman. D'un quartier à l'autre, l'auteur raconte les influences multiples qui ont façonné l'identité d'Istanbul, convoquant une multitude de personnages historiques, de plats et de senteurs.
S'élevant contre la culpabilisation des consommateurs de viande, l'essayiste remet en perspective le débat sur le mouvement végan et appelle les militants à s'en prendre aux financiers plutôt qu'aux éleveurs, aux bouchers et aux consommateurs.
Un texte qui aborde la question de l'homosexualité et du désir homosexuel. Il aide les personnes concernées à s'orienter dans leur vie personnelle et spirituelle. Il évoque également le discours de l'Eglise catholique sur l'homosexualité.
Permet de découvrir le baiser dans tous ses états : amoureux, mystique, d'allégeance, le baiser du poète, le baiser de judas ou le baiser de pénitence.
« [...] Suivre l'évolution de ces traditions chez les Acadiens constitue un exercice pour le moins fascinant. On se rend compte que depuis la fin du XIXe siècle, la Noël s'est continuellement enrichie de pratiques empruntées aux cultures environnantes. Et ces emprunts, que l'on a bien incorporés, métissés à nos traditions, se sont fait en général graduellement, bien que plus rapidement dans certaines familles et dans certains villages. »
Le témoignage d'A. Ashraf, médecin neurochirurgien au CHU de Grenoble. Arrivé en France en 1989 en tant que réfugié politique, il retourne régulièrement en Afghanistan, son pays d'origine, pour exercer comme médecin humanitaire. Dans cet ouvrage il offre une analyse sans concession de la situation politique et sociale.
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